S'il est un sujet qui passionne réellement les maires et les délégués de la CASE, c'est la voirie. Les habitants des 29 communes de la communauté d'agglomération attendent beaucoup du budget de la CASE pour voir leurs rues et leurs trottoirs retrouver un nouveau visage.
Dans ce domaine, le maire de Louviers a fait une campagne très active puisqu'il évoque un plan Marschall lovérien, à l'image de ce qui s'est fait pour reconstruire l'Europe de l'ouest après la seconde guerre mondiale, un plan dont il estime l'enveloppe à 18 millions d'euros en six ans. 18 millions d'euros, cela ne se trouve pas sous le pied d'un cheval même s'il n'est pas mauvais.
Ce n'est pas le problème des délégués de l'agglomération de savoir comment M. Martin va financer ces travaux pour la part communale compte tenu de l'équilibre précaire de son budget communal mais c'est le problème des élus de savoir comment le bureau de la CASE va répartir les crédits disponibles sachant que le budget voirie est annuellement de 2 millions d'euros pour les 29 communes.
Il est évident qu'à l'image du contrat d'agglomération qu'il faudra retravailler avant signature définitive, si Franck Martin est réélu président, il aura les moyens de favoriser la ville de Louviers au détriment de ses grandes déclarations sur l'intérêt communautaire et sur la nécessité d'envisager le territoire global et non les communes prises individuellement.
Et qu'on ne vienne pas nous dire qu'il s'agit d'une attaque injustifiée. Dans sa plaquette des sept projets phares, M. Martin écrit : « Nous allons mettre les bouchées doubles pour la remise à niveau des 78 km de voirie qui sillonnent notre commune. En six ans, la communauté d'agglomération, en charge des routes communales, va consacrer 18 millions d'euros (118 millions de francs) à leur remise en état soit trois millions d'euros par an ! »
Pour Franck Martin, la participation communale disparaît comme par enchantement. Et comme il n'est pas encore élu président, comment peut-il assurer que la CASE satisfera ses promesses qui, au fond, n'engagent que lui. Et ceux qui le croient.
Dans ce domaine, le maire de Louviers a fait une campagne très active puisqu'il évoque un plan Marschall lovérien, à l'image de ce qui s'est fait pour reconstruire l'Europe de l'ouest après la seconde guerre mondiale, un plan dont il estime l'enveloppe à 18 millions d'euros en six ans. 18 millions d'euros, cela ne se trouve pas sous le pied d'un cheval même s'il n'est pas mauvais.
Ce n'est pas le problème des délégués de l'agglomération de savoir comment M. Martin va financer ces travaux pour la part communale compte tenu de l'équilibre précaire de son budget communal mais c'est le problème des élus de savoir comment le bureau de la CASE va répartir les crédits disponibles sachant que le budget voirie est annuellement de 2 millions d'euros pour les 29 communes.
Il est évident qu'à l'image du contrat d'agglomération qu'il faudra retravailler avant signature définitive, si Franck Martin est réélu président, il aura les moyens de favoriser la ville de Louviers au détriment de ses grandes déclarations sur l'intérêt communautaire et sur la nécessité d'envisager le territoire global et non les communes prises individuellement.
Et qu'on ne vienne pas nous dire qu'il s'agit d'une attaque injustifiée. Dans sa plaquette des sept projets phares, M. Martin écrit : « Nous allons mettre les bouchées doubles pour la remise à niveau des 78 km de voirie qui sillonnent notre commune. En six ans, la communauté d'agglomération, en charge des routes communales, va consacrer 18 millions d'euros (118 millions de francs) à leur remise en état soit trois millions d'euros par an ! »
Pour Franck Martin, la participation communale disparaît comme par enchantement. Et comme il n'est pas encore élu président, comment peut-il assurer que la CASE satisfera ses promesses qui, au fond, n'engagent que lui. Et ceux qui le croient.
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