22 décembre 2020

Dépistage de la COVID 19 à la Maison des associations


L’Assurance maladie de l’Eure organise une opération de dépistage de la COVID 19 depuis lundi à la Maison des associations et des sports, le long du mail Carrington (à l’emplacement de l’ancienne piscine Plein soleil). On est accueilli avec beaucoup d’égards par les bénévoles de la Croix rouge et les membres du laboratoire bioseine-Eure.

L’opération est fort simple et non douloureuse comme le craignent parfois les douillets. Le passage de l’écouvillon vous tire une larme et si c’est négatif (résultat le lendemain) c’est une larme de bonheur. Les Lovériens intéressés doivent se munir de leur carte vitale et se rendre au lieu de rendez-vous  ce mercredi 23 décembre et les lundi 28, mardi 29 et mercredi 30 décembre de 10 à 13 heures et de 14 à 17 heures.

A la veille des fêtes de fin d’année, le dépistage est vivement conseillé.

21 décembre 2020

Louviers : Philippe Brun est devenu la tête de Turc de la municipalité

A quoi doit servir un journal municipal ? Telle est la question qu’on est en droit de se poser après la parution du dernier « Actua Louviers » dans nos boites à lettres. Ce journal est bien écrit, bien construit. Il nous donne de nombreuses informations utiles sur les chantiers en cours, qu’on les trouve judicieux ou non. Par exemple, j’aurais conservé le projet de la municipalité Martin (à quelques variantes près) pour reconstruire l’école Jules Ferry et je n’aurais pas approuvé le projet minimaliste en cours de réalisation. Car l’école, ce doit être prioritaire pour les élus et rien n’est trop beau pour les enfants de notre ville. D’autant que c’était l’occasion de remodeler tout un quartier. Que le maire nous donne son avis, dans un éditorial dont c’est la fonction, sur la politique qu’il anime, c’est dans l’ordre des choses. L’éditorial est un texte personnel où l’expression doit être la plus libre possible. On peut, dans un éditorial, attaquer l’opposition et ses choix car cela aussi c’est dans l’ordre des choses.

 

Cela étant réaffirmé, il est beaucoup plus étonnant — et même choquant — de trouver à deux endroits du journal municipal, des attaques ad hominem non pas sur un groupe mais sur un homme dont le seul tort est de prendre son rôle d’opposant à cœur et de construire l’avenir. Philippe Brun, puisqu’il s’agit de lui, est devenu la tête de Turc de la municipalité qui met en cause son « ego » ainsi que ses poursuites judiciaires infructueuses. Autrement dit on se moque d’un jeune homme légitimement ambitieux et qui n’a rien d’un supporteur du « bruit et de la fureur » comme il est dit sous le manteau. Le maire a le pouvoir. Un pouvoir légitime qu’il n’est pas question de contester. L’opposition doit quant à elle faire son travail d’opposante et elle est seule juge des moyens utilisés…que la majorité peut évidemment critiquer mais pas dans le journal municipal au détour d’un article qu’on voudrait anodin mais qui est bien une attaque en règle. Le journal municipal est le bien de tous. Il est financé par des fonds publics qui ne doivent pas être utilisés au bénéfice d’une cause univoque.

 

Philippe Brun défend ses convictions
De même, Mme Anne Terlez dans la tribune publiée dans un espace réservé à la libre expression des groupes politiques du conseil municipal, s’en prend elle aussi à Philippe Brun en niant le caractère politique de ses actions pour ne retenir qu’un aspect dévalorisant de sa soi-disant personnalité. C’est lui faire beaucoup d’honneur mais c’est surtout oublier que l’opposition est formée par des équipes solidaires. Avant de publier ces textes, la municipalité a dû réfléchir et peser ses choix. Le journal municipal doit-il devenir un espace de joutes et de querelles ou doit-il être réservé à sa fonction originelle : l’information municipale ? Pour ma part, j’ai répondu à cette question.



19 décembre 2020

Agglo Seine-Eure : la bataille de l'eau favorable aux supporteurs du groupe Véolia

Dans le stade Jesse Owens

M. Yann Le Fur, président de la commission du grand cycle de l’eau et de la protection de la ressource aurait pu filer encore plus loin les métaphores marines qu’il semble affectionner. Lors de la réunion du conseil de l’agglomération Seine-Eure, ce jeudi, au stade Jesse Owens transformée en salle de rencontres distanciées (gestes barrières obligent) M. Le Fur a voulu jouer les Bretons de service : droit dans ses bottes et cap à tribord (à droite donc) toutes voiles dehors. Bien aidé par Bernard Leroy qui a démontré un talent accompli d’habile stratège, les élus de l’agglomération ont débattu du choix de la gestion de l’eau potable sur le territoire des 105 000 habitants concernés. Des contrats arrivant à échéance le 31 décembre 2021, l’exécutif de la CASE a souhaité anticiper la suite des cette année.

 

Ce n’est ni nouveau ni immoral : il existe deux visions principales de cette gestion de services publics essentiels. Une vision purement technique et comptable, « pragmatique », affirment ses défenseurs et une autre, inscrite dans l’histoire et les compétences des communes sous forme de régie publique. Les élus favorables à cette dernière se recrutent surtout sur les bancs de la gauche…et aussi dans de nombreuses communes de droite comme Nice par exemple ou Troyes chez François Barroin. Choisir la régie publique répond d’abord à une évidence : l’eau n’est pas une marchandise « ce n’est ni un tracteur ni une bouteille de coca-cola », comme dirait Marc-Antoine Jamet, maire de Val-de-Reuil, premier défenseur de la soirée d’un amendement visant au report de la décision proposée par Bernard Leroy. Pourquoi ce report d’un an ? Pour donner du temps au temps parce qu’il s’agit d’un choix engageant l’avenir pour sept ans et que des conseillers de Seine-Eure considèrent n’avoir eu l’opportunité d’étudier à fond un dossier complexe. Il met en effet en jeu de grosses sommes d’argent et des millions de mètres cubes d’eau vendus ou perdus à cause des fuites sur les réseaux.

Bernard Leroy préside
 Bernard Leroy se savait largement majoritaire. Il ne lui servait donc à rien de prétexter un article des marchés publics (dont personne n’avait entendu parler en commissions spécialisées) empêchant la seconde prorogation d’un avenant…qui obligeait, selon lui, l’agglomération à faire son choix dans l’urgence. J’ignore si cet argument est valable juridiquement toujours est-il que Philippe Brun, Laetitia Sanchez, Diego Ortega, Janick Léger, Eric Lardeur, Richard Jacquet, ont en chœur et selon leur sensibilité défendu le report du vote pour que les élus choisissent en toute connaissance de cause l’option la meilleure pour défendre l’intérêt général. C’est-à-dire la protection de la ressource en eau, son traitement, sa distribution au coût le plus juste pour les usagers. Un an ! Un an pour étudier sérieusement les deux options en lice, voilà ce que demandaient les signataires de l’amendement et ceux et celles d’une pétition rassemblant des élus et des citoyens (pas forcément des militants) dont le seul crime aura été de croire dans les vertus de l’information « éclairée » et de la participation.

 

Philippe Brun au micro

Pour ma part, j’ai toujours défendu la régie publique qui avait fait si bien et si longtemps ses preuves à Louviers jusqu’en 1983 (le service de l’eau et de l’assainissement était toujours largement excédentaire) année où Odile Proust, ancien maire RPR, a choisi de vendre tout le réseau à la Compagnie générale des eaux devenue Véolia. C’était l’époque des Jean-Marie Messier, Guy Dejouany, …« les plus grands corrupteurs des municipalités de droite et de gauche » selon Marc-Antoine Jamet. Aujourd’hui, les dirigeants de Véolia ont changé mais leur appétit est toujours aussi féroce. Ne veulent-ils pas absorber le groupe Suez, concurrent direct de Véolia lors des appels d’offres organisés par les collectivités ? Si Véolia avale Suez, Le risque d’une situation monopolistique de Véolia est bien réel même si le groupe annonce qu’un fond d’investissement sera dédié aux marchés de l’eau pour éviter les foudres du conseil de la concurrence… Lætitia Sanchez n’a pas manqué de souligner les conséquences déjà palpables du changement climatique et d’une généralisation de stress hydrique dans de nombreuses régions du monde. Dans une partie de ces régions, des fonds vautours ont acquis des milliers d’hectares leur permettant de vendre l’eau aux éleveurs et agriculteurs a des prix spéculatifs « dans l’intérêt de leurs actionnaires. » On n’en est pas encore là en France mais l’année 2020 ayant été la plus chaude depuis les mesures de températures, notre pays devra, tôt ou tard, faire face à une pénurie d’eau potable avec toutes les conséquences fâcheuses sur notre quotidien.

 

Marc-Antoine Jamet défend le report
 Malgré des interventions souvent frappées au coin du bon sens, malgré les hésitations de nombre d’élus demandeurs d’informations comparatives, Bernard Leroy a quand même mis aux voix son projet de délibération optant pour une délégation de services publics pour la gestion de l’eau sur la majeure partie du territoire de la CASE. Le vote a été largement positif de sorte que l’appel d’offres peut être, d’ores et déjà, lancé auprès des opérateurs privés dont Véolia que la Métropole lyonnaise vient de quitter pour revenir en régie publique. Dans le Rhône, les 6,5 % de marge nette (sur 92 millions) versés aux actionnaires pourront être investis pour améliorer le réseau !


 

16 décembre 2020

« L’eau est, bien plus qu’une ressource, un bien commun vital pour l’humanité et l’ensemble du vivant. » La CASE en délibère ce jeudi soir

Avoir le choix entre Véolia et Suez, c’est comme avoir le choix entre Ariel et skip. L’étiquette change mais le contenu est le même. C’est ce choix théorique que vont devoir affronter les élu(e)s de la Communauté d’agglomération Seine-Eure, du moins ceux et celles qui ne sont pas encore convaincu(e)s qu’un retour en régie publique est non seulement important du point de vue économique mais aussi et surtout du point de vue écologique et social.

 

Dans plusieurs pays de la planète, la guerre de l’eau fait déjà rage. En Australie, aux Etats-Unis, des fonds vautours s’attaquent aux marchés de l’eau en achetant des milliers d’hectares dont le sous sol-baigne dans d’importantes nappes phréatiques. De nombreux éleveurs et agriculteurs ont été contraints de vendre leur bétail ou leurs terres eu égard aux prix faramineux qu’exigeaient d’eux les grandes sociétés pour les alimenter en eau. Le résultat ne s’est pas fait attendre : on a assisté — dans des pays où le changement climatique est à l’œuvre sous forme de sécheresses récurrentes — à des concentrations de biens dans quelques mains fortunées laissant sur la paille des générations d'agriculteurs et d'éleveurs incapables de payer les prix exigés d’elles.

 

On n’en est pas encore là en France. Pourquoi ? Parce que des élus dont c’est la compétence ont fait de l’eau un bien public à protéger des intentions pas toujours bienveillantes des grands groupes dont la France s’enorgueillit surtout à l'étranger. Mais avec le temps, les concentrations-absorptions ont réduit le choix comme peau de chagrin. On assiste même aujourd’hui à la volonté capitalistique de Véolia à l’égard de Suez dont les dirigeants en sont réduits à acheter des pages de publicité dans les grands journaux français pour dénoncer la volonté hégémonique d’un groupe qui s’occupe de tout : l’eau, l’assainissement, le transport et l’élimination des déchets, les transports urbains…

 

Pourquoi les élus de la CASE seraient-ils moins avertis que ceux de la majorité de la métropole du Grand Lyon qui viennent de mettre fin au contrat la liant à Véolia à partir de 2023. Déjà, Gérard Colomb, pourtant farouche défenseur de la délégation de services publics, par rapport au précédent contrat, avait obtenu en 2015 des améliorations : une durée de huit ans seulement, un prix de l’eau en baisse de 20%, l’obligation de réduire les fuites sur le réseau et de créer une société à part – Eau du Grand Lyon – pour gérer ce marché, afin de faciliter les contrôles. Ce contrat, officiellement démarré le 3 février 2015, arrivera à échéance à la fin 2022 et la majorité de gauche a décidé le retour en régie publique lundi dernier. Il est reproché à Véolia des « marges du délégataire » excessives, même si pour un contrat à 91 millions d’euros par an, la rentabilité annuelle pour le délégataire a bien diminué, passant à 6,5% en moyenne de 2015 à 2019. Autant d’argent que l’exécutif de la Métropole veut réinvestir pour améliorer le rendement du réseau.

 

La vice-présidente en charge de l’eau, Anne Grosperrin, a développé un autre avantage de la régie par rapport à une délégation de service public : « la participation des usagers à la définition des politiques publiques relatives à la gestion de l’eau ». D’où le choix d’un passage en régie avec autonomie financière et personnalité morale qui permettra de faire participer des associations d’usagers et des représentants du personnel au conseil d’administration de la régie. On le voit, qu’il s’agisse de Nice, Grenoble, Bordeaux, Paris, Lyon, des majorités de toutes les couleurs défendent la régie publique et elles ne manquent pas d'arguments.

 

Ce jeudi, les élus de la CASE sont invités par l’exécutif que préside Bernard Leroy, à anticiper une délégation de services publics pour l’eau à compter du 1er janvier 2022. Le président de l’agglomération s’appuie sur une expertise succincte émanant de cabinets conseils dont Marc-Antoine Jamet assure que leurs conclusions sont faites pour aller dans le sens attendu par le donneur d’ordres. Vous voulez une DSP : vous l’avez !

 

Il se trouve que des élus et des usagers sont engagés depuis longtemps sur notre territoire pour défendre le principe d’une régie publique de l’eau même avec des variantes. Ce qu’ils demandent : une temps suffisant pour étudier sérieusement un dossier qui va engager l’avenir pour plusieurs années. Obtiendront-ils un report du vote décisionnel ? Ce sera l’enjeu de la réunion de ce jeudi soir 17 septembre. Comme rien ne presse, il serait démocratique que ce report soit adopté. Un travail de réflexion considérable a été mené avec des élus de diverses communes engagées dans la régie publique. Pour en mesurer les bienfaits, il y faut, tout simplement, du courage politique et une vision à long terme, l’eau devenant au fil du temps un bien de plus en plus rare et donc de plus en plus précieux.

 

Les débats de la CASE seront retransmis sur Internet jeudi soir puisque le public ne sera pas admis dans la salle Jesse Owens de Val-de-Reuil (protocole sanitaire) où se tiendra la réunion des élus de la CASE. Soyons nombreux à les suivre.

 

9 décembre 2020

« Remettre la gestion de l’eau dans le domaine public » : un appel d'élus et de citoyens de l'agglomération Seine-Eure

 Avant le vote en réunion de conseil d'agglomération « Seine-Eure », des dizaines d'élus et de citoyens lancent un appel pour le retour en régie publique des services de l'eau :

« La gestion de la production et de la distribution de notre eau potable est aujourd’hui confiée par délégation de service public (DSP) à des sociétés privées, dont le contrat prend fin en décembre 2021. L’exécutif de l’agglomération propose de reconduire le principe d’une délégation de sept ans pour l’eau. Nous, citoyens et élus de l’agglomération, soutenons que l’option d’un retour à la gestion publique de cette ressource essentielle à l’homme, qui ne peut plus et n’aurait jamais dû être une possible source de profit, doit être clairement mise sur la table.

Le choix de la régie n’est pas partisan. Il a déjà été fait par des agglomérations et villes de droite (Nice avec Christian Estrosi, Troyes avec François Baroin) comme de gauche et écologiste (Paris avec Bertrand Delanoë, Grenoble avec Éric Piolle). Ce combat est toutefois politique, puisque ce sont les élus qui votent et choisissent le mode de gestion de l’eau et de l’assainissement.

Les retours d’expérience de la gestion publique, un mouvement grandissant en France (plus de la moitié de la population française bénéficie désormais d’une eau gérée en régie), montrent que les régies amènent généralement une baisse du prix de l’eau à la facture des citoyens, un réel contrôle et la transparence des investissements, et un réinvestissement des bénéfices dans le renouvellement du réseau ou des équipements plutôt que dans la rémunération des actionnaires.

Reconduire la délégation de service public en l’état nous amènerait à payer 2,7 millions d’euros de frais de siège aux entreprises délégataires, alors que des financements seraient nécessaires pour notre réseau qui n’est rénové qu’à la moitié de ce qu’il devrait être. Les fuites du réseau nous font actuellement perdre 3 702 m3 d’eau par jour, soit la consommation de 20 familles de 4 personnes pendant un an. Cette situation n’est pas acceptable.

Le 17 décembre prochain, un vote crucial amènera les élus à faire le choix du mode de gestion de notre eau pour les plus de 100 000 habitants de l’agglomération Seine-Eure. Soyons au rendez-vous de ce moment historique en rejoignant nos collectivités voisines du Roumois et de la Métropole de Rouen, qui ont, elles aussi, fait le choix visionnaire de la gestion publique de leur eau. »

Les Signataires :

François ALCARAZ, médecin retraité, Acquigny 

Carmen ALCARAZ, enseignante, Louviers

Mickaël ALEXANDRE (pétition en ligne)

Jocelyne ANGUILLE (pétition en ligne)

Didier AUBIN, chargé d’affaires, Pîtres

Marion AUBIN, élue, professeure documentaliste, Pîtres

Jeannine AVELINE, Louviers

Céline BACHELET, élue, Alizay

Françoise BACHELET, élue, Alizay

Michel BASSET, retraité, militant politique dans l’agglomération Seine-Eure

Aurélie BATREL, employée polyvalente, Louviers

Céline BATREL, enseignante, Vraiville

Loïc BATREL, directeur de centre de loisirs, Le Vaudreuil

Ginette BAY (pétition en ligne)

Sylvie BAZIN (pétition en ligne)

Marianne BEUL, employée, Ailly

Jeanine BESNARD, Louviers

Alain BLONDEL, enseignant, Louviers

Anthony BOBO, ouvrier en situation de handicap, Louviers

Catherine BONNEIN, Louviers

Jérôme BOURLET DE LA VALLEE, ancien élu régional EELV et membre de commission à l’Agence de l’eau

Arnaud BRAU (pétition en ligne)

Christian BRAUN, retraité, Pont de l’Arche

François BRIANCON, animateur dans le jeu, Louviers

Maurice BROSSAUD, Louviers

Isabelle BRUN, Porte-de-Seine

Philippe BRUN, élu, Louviers

Jean-Philippe BRUN, maire, Porte-de-Seine

Fabien BUIRETTE, militant politique dans l’agglomération Seine-Eure

Conseil Citoyen CCTES 27 – l’ensemble des membres

Alan CADEC, enseignant, Val de Reuil

François CHARMOT, journaliste, Incarville

Patrice CHARPENTIER, enseignant spécialisé, Pinterville

Angélique CHASSY, enseignante chercheure, économiste, Pont-de-l’Arche

Didier CHESNE, agent Education nationale, Louviers

Smail CHIBANE, ancien conseiller municipal, Louviers

Jérémy CHOUETTE, artiste, Ailly

Aude CRANOIS, Louviers

Norbert CLEMENT, enseignant, Louviers

Alice COBERT, agent territorial retraitée, Pîtres

Jean-Pierre COBERT, élu, président du CCTES, Pîtres

Magal COLLARD, élue, Louviers

Emma COLLONGES, élue, Alizay

Estelle COUTURIER, élue, Alizay

Nadine DALIBERT (pétition en ligne)

Marie DALMEIDA (pétition en ligne)

Claude DANNEBEY (pétition en ligne)

Estelle DANNEBEY (pétition en ligne)

Vincent DEBARD, Louviers

Anne-Sophie DE BESSES, élue, Pont-de-l’Arche

Liliane DELESTRE (pétition en ligne)

Anna DERYNEK, retraitée, Incarville

Jean DERYNEK, retraité, Incarville

Éric DESBOND, enseignant, Vraiville

Maryannick DESHAYES, conseillère départementale

Michel DESHAYES, enseignant retraité, Louviers

Hubert DE LA HAYE, élu, Terres de Bord

Marc DORDAIN, informaticien retraité, Louviers

Michèle DORDAIN, enseignante retraitée, Louviers

Anna DORYNEK, retraitée, Incarville

Jean DORYNEK, Incarville

Marine DUGORD, élue, Louviers

Claudine DUTEUIL, retraitée, Louviers 

Claude DUFLO, retraité, Louviers  

Nicole DUFLO, Louviers 

Priscillia DOS SANTOS, élue, Alizay

Francis DUVERNAY, référent d’un parti politique, Poses

Liliane EBRO, professeur agrégée retraitée, Pîtres

Didier FERMIN, Louviers

Frédéric FICHOT, magasinier, Pîtres

Marie-Françoise FIQUET, (pétition en ligne)

Jacky FLEITH, Terres de Bord, ancien maire de Terres de Bord

Angelle FLEURY, professeur des écoles, Louviers

Cédric FORCADEL, enseignant et militant pédagogique, Alizay

Alexis FRAISSE, conseiller municipal EELV, Louviers

Gilles FRAUDIN, président d’AUTES, Igoville

Bruno GALLIER, retraité Education nationale, Louviers

Sylvie GARCIA, militante politique dans l’agglomération Seine-Eure

Isabelle GAUCHIN-SOREL, Présidente du Comité ATTAC Louviers

Véronique GAUTIER, élue, Alizay

Thierry GAUTIER, militant politique dans l’agglomération Seine-Eure

Bénédicte GEHAN, orthophoniste, Ailly

Frédéric GEHAN, en recherche d'emploi, Ailly

Véronique GEORGET, bibliothécaire retraitée, Louviers

Caroline GENARD (pétition en ligne)

Mohammed GHARNOUS, Vironvay

Bruno GIARD, militant politique dans l’agglomération Seine-Eure

Marilyne GIMBERT, enseignante, Terres de Bord

Gilberte GILET, retraitée, Acquigny

Bernard GIRAUDEAU (pétition en ligne)

Jean GRODENT, enseignant retraité, Le Vaudreuil

Valérie GOMINON, élue, Igoville

Yves GRENIER, élu, Alizay

Tanja GÜTH, élue, Val-de-Reuil

Georgette HAMONOU, enseignante retraitée, Louviers

Reynald HARLAUT, Louviers

Patricia HAUBERT, militante politique dans l’agglomération Seine-Eure

Helga HEBRARD, formatrice en langues, Louviers

Aurélie HELAINE, en recherche d'emploi, Val de Reuil

Jean-Charles HOUEL, ancien président de l'association pour le retour des services eau et assainissement en régies publiques, Louviers

Patricia HOUEL, Louviers

Marc-Antoine JAMET, maire de Val-de-Reuil

Raynald JOUIN, retraité, Pinterville

Sandrine KUHN, agent territorial, militante politique dans l’agglomération Seine-Eure

Yves LANIC, ancien maire d’Amfreville-sous-les Monts

Thierry LECOMTE, élu, Terres de Bord

Alain LEFEBVRE, retraité de l'automobile, Montaure

Gianni LEFEBVRE, élu, Pîtres

Sylvie LEFEBVRE, adhérente à AUTES, Igoville

Viviane LEFEBVRE, retraitée, Montaure

Janick LEGER, maire de Léry

Jean-Luc LEGER, président CESER Normandie

Jean-Pierre LEMIUS, Louviers

Frédéric LENORMAND, enseignant, Louviers

Nolwenn LEOSTIC, encadrante dans l’ESS, Louviers

Anne LESAULNIER, Louviers

Joël LEVASSEUR, retraité de la fonction publique, Louviers

Jean-Claude LEVILLAIN, élu, Alizay

Arnaud LEVITRE, maire d’Alizay 

Gaëtan LEVITRE, Conseiller Départemental Canton Pont de l'Arche

Mehdi LOCATELLI, avocat, Louviers

Antoine LOPY, élu Alizay

Patrice L’HERMITTE, élu, Alizay

Michel LE GOFF (pétition en ligne)

Jean-Yves LE PATEZOUR, informaticien, Lovérien

Yann LE SAUX, cheminot, Aubevoye

Daniel MANSUY, ancien Maire du Manoir

Sophie MANSUY, élue, Alizay

Gimbert MARYLINE (pétition en ligne)

Denis MAUGARD, retraité, Amfreville-sur-Iton

Anne MAUGE, Présidente Artisans du monde, retraitée

Bybie-Anne MBELO (pétition en ligne)

Zahir MECHKOUR, élu, Alizay

François MILLAN (pétition en ligne)

Arnaud MONNIER, automaticien, Louviers

Michèle MOR, enseignante, Acquigny

Christine MORAINVILLE, retraitée, Louviers

Claude MOREL, retraité, Louviers

Monique MOREL, retraitée, Louviers

Nicole MOREL, retraitée, Louviers

Françoise MOREL, enseignante, Terre de Bord

Marc NATHALIE (pétition en ligne)

Colette NOE, agent du patrimoine retraitée, Louviers

Jacques NORMAND, retraité, Louviers

Marie-France ORDONEZ, secrétaire administrative retraitée, Louviers

Diego ORTEGA, élu, Louviers 

Sophie OZANNE, enseignante retraitée, élue municipale 2008-2010, Louviers 

Corine PEIGNEIN, Louviers

Nathalie PERROCHE (pétition en ligne)

Thierry PHILIPPOT, syndicaliste défenseur juridique, Incarville

Didier PIEDNOEL, ancien maire de Poses

Cécile PICARD (pétition en ligne)

Bruno PILLOU, technicien, Val de Reuil

Pierre PILLOU, ouvrier de l'automobile retraité, Louviers

Jean-Pierre PERIER, ancien adjoint à la mairie, Terres de Bord

Ginette PERIER, Terres de Bord

Guy PORTIER, Surville

Annick PORTIER, Surville

Chantal POTTIER, femme au foyer, défense des locataires, Louviers

Joël POTTIER, Louviers

Etienne PREVOST, brancardier, syndicaliste, Louviers

Gérard PREVOST, ouvrier de l'automobile retraité, ancien conseiller municipal, Louviers

Hélène PREVOST DRAY, infirmière retraitée, Louviers

Emmanuel PSALMON, enseignant, Louviers

Jean-Pierre QUATREMARE, retraité, Terres de Bord

Jean QUERE, enseignant retraité

Annick QUERE, enseignante retraitée

Yvette REBOURS, militante politique dans l’agglomération Seine-Eure

Gérard RENOULT, Le Mesnil-Jourdain

Dominique RIDIRA, militant politique dans l’agglomération Seine-Eure, Pîtres

Martine ROBERT, élue, Alizay

Alexis ROUSSELIN, enseignant, syndicaliste, Ailly

Elise ROUSSELIN, enseignante, syndicaliste, Ailly

Éric RUIZ, chargé de mission, Val d'Hazey

Pascal RUSE, élu, Alizay

François SAILLOT, technicien papetier, Louviers

Mickael SAINT-PIERRE, élu, Alizay

Laetitia SANCHEZ, maire de Saint-Pierre-du-Vauvray

Marie-Claude SASSINE, élue, Terres de Bord

Pierre SASSINE, Terres de Bord

Leila SEGHIR, Louviers

Lydie SEIGNEUR (pétition en ligne)

Rémi SERGE, retraité, Louviers

Guillemette SUDRE, Louviers

Marielle SUIRE, Pont-de-l’Arche

Pascal SUIRE, Pont-de-l’Arche

Jean-Luc TESSON, élu, Alizay

Philippe THOUEMENT, enseignant, conseiller municipal 2010-2014, Louviers

Guillaume VANDEVOORDE, ébéniste, Louviers

Pierre VANDEVOORDE, enseignant retraité, Louviers

Nathalie VAN HOORNE, Louviers

Fabien VAN LOYEN, élu, Surville

Delphine VERKINDER, élue, Alizay

Nadine VERMEULEN, enseignante retraitée, Louviers