Le colonel Philippe Berthelot, commandant du service départemental d'incendie et de secours de Loire-Atlantique a laissé un vrai souvenir dans le département de l'Eure où il occupait les mêmes fonctions. Le colonel Berthelot était connu pour son sens du commandement, son efficacité et sa volonté de réussir là où d'autres auraient baissé les bras. A Nantes, où il occupe son poste, il vient de partir en guerre contre les promoteurs privés ou publics qui refusent d'équiper leurs nouveaux logements collectifs de détecteurs de fumée. Ces outils apparemment simples d'usage et terriblement efficaces en cas d'incendie ont un coût. Il semble bien que cet élément soit décisif dans la décision des constructeurs de ne pas doter les habitations de ces détecteurs.
Philippe Berthelot affirme que des biens et des vies auraient pu être sauvés si les détecteurs de fumée avaient équipé certains immeubles dont plusieurs appartements ont été détruits par le feu. Le principe du détecteur est de…détecter les fumées dès qu'une certaine température est atteinte et de lancer un signal d'alerte permettant aux habitants de se protéger ou de s'enfuir et aux secouristes, les sapeurs-pompiers le plus souvent, d'intervenir très en amont.
Les députés ont eu un texte sous les yeux mais une fois encore les lobbies ont empêché que la réglementation nécessaire devienne obligatoire. A une époque où le principe de précaution est devenu un principe constitutionnel, on ne comprend pas (comme le colonel Berthelot) que les détecteurs de fumée demeurent des équipements laissés au choix de professionnels plus responsables que d'autres.
Philippe Berthelot affirme que des biens et des vies auraient pu être sauvés si les détecteurs de fumée avaient équipé certains immeubles dont plusieurs appartements ont été détruits par le feu. Le principe du détecteur est de…détecter les fumées dès qu'une certaine température est atteinte et de lancer un signal d'alerte permettant aux habitants de se protéger ou de s'enfuir et aux secouristes, les sapeurs-pompiers le plus souvent, d'intervenir très en amont.
Les députés ont eu un texte sous les yeux mais une fois encore les lobbies ont empêché que la réglementation nécessaire devienne obligatoire. A une époque où le principe de précaution est devenu un principe constitutionnel, on ne comprend pas (comme le colonel Berthelot) que les détecteurs de fumée demeurent des équipements laissés au choix de professionnels plus responsables que d'autres.
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