Plus 25 % pour les carburants, plus 7 % pour l'électricité, plus 21 % pour le gaz. Sans oublier l'augmentation des primes d'assurances et le renchérissement des denrées alimentaires ainsi que l'augmentation des loyers. En quelques semaines, les Français sont vraiment devenus les cochons de payants. Et personne n'échappe à ces dépenses contraintes. Contraintes car personne, du plus petit salaire au plus élevé, n'échappe à cette tyrannie des prix de l'énergie.
Or, on nous parle d'une inflation à 2% ! Soyons sérieux. Compte tenu de ces énormes augmentations, le calcul de la progression des prix devrait certainement être revu ! Et pendant ce temps-là, les salaires du privé et du secteur public stagnent. M. Tron a même affirmé que le point d'indice des différentes fonctions publiques (Etat, collectivités locales, hôpital) serait bloqué jusqu'à une date indéterminée ou presque puisque 2012 est l'année de la présidentielle.
Dans le même temps, les assujettis à l'ISF sont ravis. Non seulement le montant minimum de richesse est largement augmenté (limitant le nombre des imposés) mais en plus le taux de prélèvement est diminué des deux tiers ! Les riches sont gagnants sur toute la ligne. Que la campagne électorale suscite des mesures…électoralistes, on peut le comprendre sans l'accepter mais que ce soit toujours les mêmes qui ramassent la mise a de quoi justifier la grogne et la colère des travailleurs pauvres, des pauvres non travailleurs et des travailleurs non pauvres.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire