9 octobre 2010
Petite mise au point relative à la mémoire lovérienne et «cagiste»
Suite à l'article paru dans La Dépêche consacré à « l'autogestion », j'ai été appelé par plusieurs correspondants pour savoir qui était à l'origine de ce papier. Certains croyaient, à tort, que mes anciennes accointances au sein de l'hebdomadaire local m'avaient poussé à prendre contact avec les journalistes locaux pour susciter ce « dossier ». C'est me donner un pouvoir que je n'ai pas et que je ne veux pas. Et d'ailleurs pourquoi l'aurai-je fait ?
Les journalistes de La Dépêche sont assez grands pour ne pas avoir besoin d'inspirateurs. Moi-même, si j'ai répondu à leurs questions, c'est quelques heures avant le bouclage et sans que je les interpelle sur le pourquoi du comment. Je connais assez le métier pour savoir qu'il n'est ni sain ni judicieux d'interroger les journalistes sur la démarche qui est la leur et qui leur appartient. Je suis donc totalement hors du coup et il n'est pas mauvais que cela soit écrit clairement.
Après la parution d'un article, il est toujours temps de poser des questions ou de formuler des remarques. A la question, pourquoi cet article maintenant ? Je n'ai obtenu qu'une réponse, celle qu'a bien voulu me fournir l'une des journalistes signataires de l'article : « c'est à la suite d'une rencontre et parce que nous avons sur notre bureau, et depuis longtemps, le livre de Christophe Wargny « Louviers sur la route de l'autogestion. » Je n'en sais pas plus.
Il est évident que, sur le sujet « Ernest Martin, l'autogestion et le CAG (1) » j'aurai des tonnes de papiers à écrire et des dizaines de commentaires à faire. J'agirai quand je le jugerai utile, à mon rythme. Le privilège de la mémoire vraie.
(1) Comité d'Action de Gauche
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