23 novembre 2009

Contre la fessée !

Edvige Antier, député UMP a émis l'idée de faire voter une loi interdisant la fessée et tout châtiment corporel. 82 % des Français considèrent qu'elle a tort. Je fais partie des 18 autres pour cents qui sont totalement opposés et en toutes circonstances aux violences physiques des parents à l'égard de leurs enfants.
Frapper un enfant est un signe de faiblesse. C'est la preuve qu'on se laisse dominer par une situation ou une colère. La résolution des conflits entre parents et enfants doit être médiatisée, expliquée, verbalisée. J'ai confiance. En Suède, 75 % des Suédois étaient opposés à l'interdiction de la fessée, ils ne sont plus que 10 % dix ans après le vote de la loi. Il en ira de même en France. Courage, Edvige.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

refrain
Moi J'aime Bien La Fessée
ça m'chatouille,ça m'chatouille
Moi J'aime Bien La Fessée
ça m'chatouille toute la journée.
1°couplet
la fessée que j'aime bien
c'est la fessée du matin(bis)
quand je mets la queue du chat
dans mon bol de chocolat
refrain
2°couplet
la fessée que j'apprécie
c'est la fessée de midi (bis)
quand je reviens tout crotté
avec mon pull déchiré
refrain
3°couplet
y a la fessée de 4 heures
qui me remplit de bonheur(bis)
quand je me pointe en retard
avec un oeil au beurre noir
refrain
4°couplet
mais ma fessée préférée
je la garde pour la soirée(bis)
quand je découpe les rideaux
avec une paire de ciseaux
Refrain
5°couplet
mais comme le disent les parents
ça fait circuler le sang(bis)
la maison est plus gaie
quand on reçoit la fessée

Pierre Chêne

Jean-Charles Houel a dit…

Cette fessée-là, je la trouve drôle et épatante. Tout le monde peut se tromper.

Anonyme a dit…

J'ai trouvé cette sagesse de nos ancêtres :


Lorsque les pères

s’habituent à laisser faire les enfants,
lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles,
lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter,
lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu’ils ne reconnaissent plus au-dessus d’eux l’autorité de rien et de personne,
alors, c’est là en toute beauté et en toute jeunesse le début de la tyrannie.

Platon
429-347 av. J.C.


Sylvia Mackert