Franck Martin pense intenter un recours judiciaire contre l'élection de Guy Auzoux. Il veut même faire mieux : un recours contre les 1787 électeurs qui ont voté Houel au second tour et qui n'ont pas choisi Martin. Un recours judiciaire, c'est une chose sérieuse. Pour que les juges lui donnent gain de cause, il faut que Martin prouve « qu'une manœuvre a été de nature à altérer la sincérité du scrutin. » Un tract diffamatoire auquel un candidat ne peut répondre par exemple, une tricherie avérée dans un bureau de vote, autre exemple, il y faut du solide, du sérieux, du probant. Pour étayer son recours, il s'appuierait sur un mail de Michel Lannier, élu de Pinterville, laissant libre cours à sa satisfaction de voir Martin perdre son siège au soir du vote. Je ne reviens pas sur le contentieux avec cette commune. Mais il va falloir trouver autre chose pour que le juge accepte d'annuler une élection qui, selon moi, s'est déroulée comme toutes les élections, avec passion, avec âpreté, avec cruauté parfois, et je suis bien placé pour savoir que Franck Martin ne m'a pas épargné.
Il y est même allé de son couplet psychologique pour s'interroger sur mes capacités mentales et les mobiles réels de ma candidature : jalousie, vengeance, refoulement, complexe d'œdipe…J'avoue que je suis resté béat devant tant d'attentions sur l'état de ma santé. Car chacun doit évidemment s'interroger sur ses comportements propres et non spéculer seulement sur ceux des autres. Gérard Prévost se souviendra longtemps du traitement que deux sbires martinistes lui ont réservé à l'annonce des résultats au Moulin. « J'ai été molesté » a-t-il affirmé au soir de l'installation du conseil. Interrogeons-nous plutôt sur la santé mentale de ces édiles-là qui vont diriger la ville !
Je le répète : ma campagne a été politique. Elle a été conduite sur des bases politiques. le combat politique doit le rester, avec ses bons et ses mauvais sorts. Quant aux analystes, je leur rappelle qu'il est plus facile de commenter les résultats quand on les connait plutôt que la veille.
Il y est même allé de son couplet psychologique pour s'interroger sur mes capacités mentales et les mobiles réels de ma candidature : jalousie, vengeance, refoulement, complexe d'œdipe…J'avoue que je suis resté béat devant tant d'attentions sur l'état de ma santé. Car chacun doit évidemment s'interroger sur ses comportements propres et non spéculer seulement sur ceux des autres. Gérard Prévost se souviendra longtemps du traitement que deux sbires martinistes lui ont réservé à l'annonce des résultats au Moulin. « J'ai été molesté » a-t-il affirmé au soir de l'installation du conseil. Interrogeons-nous plutôt sur la santé mentale de ces édiles-là qui vont diriger la ville !
Je le répète : ma campagne a été politique. Elle a été conduite sur des bases politiques. le combat politique doit le rester, avec ses bons et ses mauvais sorts. Quant aux analystes, je leur rappelle qu'il est plus facile de commenter les résultats quand on les connait plutôt que la veille.
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