Nous représentons, avec notre score des dernières élections municipales, près de 20 % de la population lovérienne. Il est donc légitime que les Lovériens sachent pourquoi nous nous sommes exprimés contre le projet du maire et l’engagement financier très important qu’il représente.
Ce que le maire actuel et les élus majoritaires ne veulent pas entendre c’est que selon de nombreuses études menées dans des villes qui l’ont installée depuis longtemps, la vidéosurveillance n’a pas montré son efficacité.
Contrairement à un cliché tellement répété qu’on finirait par le croire vrai, la délinquance n’a pas diminué dans les villes équipées de caméras.
On constate aussi que, quand des caméras sont installées à un endroit, la délinquance ne fait que se déplacer à proximité. C’est « l’effet coup de balai » (cf les récents incidents dans la rue Foch).
Le coût d’installation est exorbitant : pour le seul quartier des acacias, ce sont plus de 250 000 € qui ont été dépensés (les impôts locaux), sans compter le coût d’intervention des services techniques de la ville et le coût d’entretien du matériel à la charge des contribuables.
Le danger pour les libertés publiques est réel et les protections juridiques ne sont pas fixées clairement.
Pour expliquer notre position et pour en discuter avec les habitants, nous vous proposons de vous rencontrer le samedi 28 juin à 10 h 30, devant le centre Pastel dans le quartier des Acacias.
Pour nous, d’autres solutions existent comme la mise en place de plus de moyens dans les quartiers, plus de gardiens d’immeubles formés à la médiation et à l’intervention, plus de médiateurs sociaux, adultes relais qui peuvent intervenir en cas de conflits et plus d’activités et de lieux de convivialité pour tous.
Nous répondrons à toutes les questions que vous voudrez bien nous poser et notamment sur ce qu’il convient de faire pour sécuriser les quartiers mais surtout pour sécuriser la ville sur la totalité de son territoire.
Nous comptons sur votre présence.
Christian Renoncourt, Christine Théault et Claudine Duteuil, conseillers municipaux d’opposition et membres de l’association « Avenir Citoyen ».
Ce que le maire actuel et les élus majoritaires ne veulent pas entendre c’est que selon de nombreuses études menées dans des villes qui l’ont installée depuis longtemps, la vidéosurveillance n’a pas montré son efficacité.
Contrairement à un cliché tellement répété qu’on finirait par le croire vrai, la délinquance n’a pas diminué dans les villes équipées de caméras.
On constate aussi que, quand des caméras sont installées à un endroit, la délinquance ne fait que se déplacer à proximité. C’est « l’effet coup de balai » (cf les récents incidents dans la rue Foch).
Le coût d’installation est exorbitant : pour le seul quartier des acacias, ce sont plus de 250 000 € qui ont été dépensés (les impôts locaux), sans compter le coût d’intervention des services techniques de la ville et le coût d’entretien du matériel à la charge des contribuables.
Le danger pour les libertés publiques est réel et les protections juridiques ne sont pas fixées clairement.
Pour expliquer notre position et pour en discuter avec les habitants, nous vous proposons de vous rencontrer le samedi 28 juin à 10 h 30, devant le centre Pastel dans le quartier des Acacias.
Pour nous, d’autres solutions existent comme la mise en place de plus de moyens dans les quartiers, plus de gardiens d’immeubles formés à la médiation et à l’intervention, plus de médiateurs sociaux, adultes relais qui peuvent intervenir en cas de conflits et plus d’activités et de lieux de convivialité pour tous.
Nous répondrons à toutes les questions que vous voudrez bien nous poser et notamment sur ce qu’il convient de faire pour sécuriser les quartiers mais surtout pour sécuriser la ville sur la totalité de son territoire.
Nous comptons sur votre présence.
Christian Renoncourt, Christine Théault et Claudine Duteuil, conseillers municipaux d’opposition et membres de l’association « Avenir Citoyen ».
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