La droite tape de plus en plus fort et cela va finir par faire de plus en plus mal. L'annonce par Nicolas Sarkozy lui-même de son intention de nommer le président de France Télévision donne une idée exacte des comportements, des volontés, des usages d'une droite qui depuis cinquante ans, n'a pas changé.
Elle veut maîtriser et contrôler la télévision publique. Elle veut privilégier et « prioriser » la télévision privée que Sarkozy n'a pas besoin de contrôler puisque ses amis s'en chargent à sa place. La levée de boucliers qui a suivi cette annonce présidentielle ne suffira sans doute pas à le faire changer d'avis sauf si…sauf si un vaste mouvement des professionnels de la télévision, des journalistes, des producteurs, des téléspectateurs fait monter la mayonnaise et sentir au pouvoir qu'il y a des limites à ne pas franchir.
Que Sarkozy soit sans gêne, on le savait depuis l'affaire du stylo Montblanc que Youtube s'est fait un plaisir de publier en boucle. Qu'il soit sans scrupules, on le savait aussi en écoutant ses discours sur Jaurès et sur les travailleurs. C'était avant la nuit au Fouquet's et avant le petite sortie en mer sur le yacht de Bolloré.
Depuis il se serait acheté une conduite sous la férule de Carla Bruni. Mais ce n'est que de la façade. L'homme reste le même. Avec la même idéologie libérale, la même soif de pouvoir, la même démarche de monarchie élective comme le lui a dit un jour Laurent Joffrin. La même volonté de contrôler ce qui devrait être politiquement incontrôlable : une télévision publique digne de ce nom !
Elle veut maîtriser et contrôler la télévision publique. Elle veut privilégier et « prioriser » la télévision privée que Sarkozy n'a pas besoin de contrôler puisque ses amis s'en chargent à sa place. La levée de boucliers qui a suivi cette annonce présidentielle ne suffira sans doute pas à le faire changer d'avis sauf si…sauf si un vaste mouvement des professionnels de la télévision, des journalistes, des producteurs, des téléspectateurs fait monter la mayonnaise et sentir au pouvoir qu'il y a des limites à ne pas franchir.
Que Sarkozy soit sans gêne, on le savait depuis l'affaire du stylo Montblanc que Youtube s'est fait un plaisir de publier en boucle. Qu'il soit sans scrupules, on le savait aussi en écoutant ses discours sur Jaurès et sur les travailleurs. C'était avant la nuit au Fouquet's et avant le petite sortie en mer sur le yacht de Bolloré.
Depuis il se serait acheté une conduite sous la férule de Carla Bruni. Mais ce n'est que de la façade. L'homme reste le même. Avec la même idéologie libérale, la même soif de pouvoir, la même démarche de monarchie élective comme le lui a dit un jour Laurent Joffrin. La même volonté de contrôler ce qui devrait être politiquement incontrôlable : une télévision publique digne de ce nom !
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