« Taisez-vous Elkabbach ! » Tout le monde se souvient de cette célèbre apostrophe de Georges Marchais, secrétaire général du Parti communiste français, à Jean-Pierre Elkabbach qui l'interrogeait au cours d'une célèbre émission télévisée sur Antenne2. JPE aurait mieux fait de suivre l'invite de feu Georges Marchais, il y a quelques jours, après qu'il a obligé ses journalistes d'Europe N°1 à annoncer à 17 heures un jour de la semaine dernière, sur l'antenne de la célèbre station de radio, la mort de Pascal Sevran…qui n'était pas mort. Pour un journaliste, annoncer la mort d'un vivant, c'est la faute absolue. Pour M. Elkabbach, donneur de leçon sur les rumeurs, les fausses informations circulant sur le web, la pilule doit être difficile à avaler et le sentiment de culpabilité total. Daniel Schneidermann, dans Libération, explique le pourquoi et le comment de la décision de M. Elkabbach. On a bien du mal à lui trouver des excuses. Trente minutes après l'annonce, le démenti est tombé. Et il s'est fait très mal.
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