Ségolène Royal nous rassure. Surprise par le nombre important de réactions négatives qui ont fait suite à ses déclarations assurant que Barack Obama s'était inspiré des méthodes utilisées par elle lors de la campagne électorale présidentielle française, l'ancienne candidate a cru bon de préciser qu'il s'agissait d'humour et que cette réponse devait être comprise dans un contexte particulier de complicité avec un journaliste curieux. Non, elle n'a pas pété les plombs. Non, elle n'a pas la grosse tête.
Nicolas Sarkozy n'a pas jugé nécessaire de publier de communiqué précisant que sa phrase : « j'ai hâte de changer le monde avec Barack Obama » était à prendre au second voire au 3e degré. C'est donc qu'il s'y croit. Et s'il s'y croit, c'est qu'il manque vraiment d'humilité. Il va finir par se prendre pour ce qu'il est.
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