Le président de la Fédération française d'athlétisme, Bernard Amsalem, est un ami. Nous nous connaissons depuis des décennies et nous avons appris à nous estimer. Le journal « Le Monde » fait paraître, aujourd'hui, une tribune dans laquelle le président de la FFA propose que le sport français soit animé d'un second souffle tant le gouvernement se montre passif vis-à-vis des besoins du sport. Nous ne sommes pas surpris par la pertinence de ses arguments et de l'attention qu'il porte à l'avenir du sport en France. Certains jugent même que ce texte pourrait servir de contribution thématique dans le cadre de la préparation du congrès socialiste à Reims.
Mais Bernard Amsalem a aussi beaucoup d'humour sans oublier les drames ni la souffrance des hommes ou d'un pays. Alors que nous évoquions, autour d'un café, le récent voyage de François Loncle à Kaboul, en Afghanistan, et l'attentat qui a fait quarante morts et des dizaines de blessés 48 heures après son départ devant l'ambassade de l'Inde, Bernard a eu cette phrase qui sera la phrase du jour : « Il faut être maboul pour aller en Irak mais être patrak pour aller à kaboul ».
Mais Bernard Amsalem a aussi beaucoup d'humour sans oublier les drames ni la souffrance des hommes ou d'un pays. Alors que nous évoquions, autour d'un café, le récent voyage de François Loncle à Kaboul, en Afghanistan, et l'attentat qui a fait quarante morts et des dizaines de blessés 48 heures après son départ devant l'ambassade de l'Inde, Bernard a eu cette phrase qui sera la phrase du jour : « Il faut être maboul pour aller en Irak mais être patrak pour aller à kaboul ».
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