Martin Hirsh, haut commissaire aux solidarités actives, a remis ce vendredi la croix de Chevalier de la légion d'honneur à Jean Louis Destans, président du conseil général. L'ancien responsable d'Emmaüs France et Jean Louis Destans se sont connus lors d'un colloque consacré aux OGM. Ce jour-là, ils ont aussi parlé solidarité et le dernier décret signé par Dominique de Villepin fut pour le RSA qui, sans ce décret, aurait peut-être été mort né.
Cette décoration, devant une foule d'élus et d'amis, a été évidemment l'occasion de retracer la vie de Jean Louis Destans : son parcours scolaire, son passé d'énarque, de diplomate, d'élu pont-audemérien réélu avec 70 % des suffrages lors des derniers scrutins locaux. Ce qui frappe chez cet homme, c'est le sens qu'il donne à son action politique, c'est la sincérité qu'il met dans son engagement et la volonté qu'il affiche à mener au bout les projets dans lesquels il croit. Ce n'est pas une homme facile, non pas parce qu'il a mauvais caractère mais parce qu'il a du caractère. Et de l'autorité. Après la discussion, la concertation, vient l'action. Et c'est pourquoi le département de l'Eure a autant bougé depuis 2001. C'est pourquoi les collèges ont poussé comme des champignons. C'est pourquoi la solidarité (et le RSA) a été une priorité absolue de la majorité de gauche du conseil général.
Jean-Louis Destans aime à insister sur le fait qu'il est le tuteur de 1500 jeunes Eurois dans la souffrance morale ou physique, dans la délinquance parfois, mais aussi dans la confiance que l'action publique leur doit. La légion d'honneur qu'il a reçue, il a aussi su la partager avec ses amis (ayons une pensée pour Jean-Jacques Cabot) ses collègues élus et le Parti socialiste à qui il a rendu collectivement hommage : « Ce parti m'a beaucoup donné, j'espère qu'il me donnera encore beaucoup car j'ai envie d'aller plus loin. » Et nous tous avec lui.
Cette décoration, devant une foule d'élus et d'amis, a été évidemment l'occasion de retracer la vie de Jean Louis Destans : son parcours scolaire, son passé d'énarque, de diplomate, d'élu pont-audemérien réélu avec 70 % des suffrages lors des derniers scrutins locaux. Ce qui frappe chez cet homme, c'est le sens qu'il donne à son action politique, c'est la sincérité qu'il met dans son engagement et la volonté qu'il affiche à mener au bout les projets dans lesquels il croit. Ce n'est pas une homme facile, non pas parce qu'il a mauvais caractère mais parce qu'il a du caractère. Et de l'autorité. Après la discussion, la concertation, vient l'action. Et c'est pourquoi le département de l'Eure a autant bougé depuis 2001. C'est pourquoi les collèges ont poussé comme des champignons. C'est pourquoi la solidarité (et le RSA) a été une priorité absolue de la majorité de gauche du conseil général.
Jean-Louis Destans aime à insister sur le fait qu'il est le tuteur de 1500 jeunes Eurois dans la souffrance morale ou physique, dans la délinquance parfois, mais aussi dans la confiance que l'action publique leur doit. La légion d'honneur qu'il a reçue, il a aussi su la partager avec ses amis (ayons une pensée pour Jean-Jacques Cabot) ses collègues élus et le Parti socialiste à qui il a rendu collectivement hommage : « Ce parti m'a beaucoup donné, j'espère qu'il me donnera encore beaucoup car j'ai envie d'aller plus loin. » Et nous tous avec lui.
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