Le burqini est un maillot de bain qui permet de nager tout habillé. Il est porté (quand il l'est) par des femmes musulmanes plus proches de l'intégrisme islamique que de la religion coranique expliquée aux enfants.
Une femme portant un Burqini s'est vu refuser l'accès à la piscine d'une commune de Seine-et-Marne au prétexte qu'elle voulait nager dans cette tenue. Pour porter ce burqini, elle invoque la liberté individuelle et proteste contre ce qu'elle appelle une forme d'exclusion quand le maire s'appuie sur le règlement de la piscine qui interdit les caleçons et également de nager tout habillé pour des raisons d'hygiène. S'agit-il d'hypocrisie ? Dans les deux cas, assurément. L'une parce qu'elle sait bien que les piscines publiques et collectives ont des règles valables pour tous et toutes, l'autre parce que derrière l'hygiène se cache une autre raison moins avouée, celle de l'opposition légitime à l'intégrisme. Le maire n'a pas à prendre de gants pour interdire le port du burqini.
André Gérin, député, à l'origine de la mission d'information parlementaire sur la burqa (à peine 400 femmes en France la porteraient) apprenant l'affaire de la piscine crie à la provocation de la part de cette femme ! Il assure même que derrière elle se cachent quelques intégristes religieux désireux de pousser la République laïque dans ses retranchements. La République en a vu d'autres. Elle saura résister à cette pression.
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