« C'est M. Barroso et un programme de travail ou un programme de travail et M. Barroso. Voila la ligne très claire que soutient la France ». « N'importe quel programme ne convien(drait) naturellement pas ». On sent du côté français comme un léger soupçon à l'égard de M. Barroso. Bruno Le Maire explique aussi que c'est par respect pour le nouveau Parlement européen que le gouvernement français ne souhaite pas une désignation « juridique » du président de la Commission. M. Barroso devra se contenter d'une nomination d'intention.
Cela signifie que Daniel Cohn-Bendit et son mouvement anti-Barroso ont des chances de donner quelques résultats. Le vote du Parlement sur la désignation du nouveau président de la Commission (l'organe exécutif essentiel de l'Union européenne) risque d'être très pimenté.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire