Alain Le Vern, Guillaume Pépy et Marc-Antoine Jamet visitent la gare de Val-de-Reuil (photo JCH)
Alain Le Vern accueille le président de la SNCF. (photo JCH)
Alain Le Vern accueille le président de la SNCF. (photo JCH)
Les usagers de la gare rolivaloise ainsi que les maires des communes de l'agglomération Seine-Eure et ceux de la communauté Seine-Bord attendaient beaucoup de la visite de Guillaume Pépy, président de la SNCF, ce matin à Val-de-Reuil. Peut-être trop d'ailleurs, quand on connait l'inertie de certaines grandes sociétés publiques ou privées avant de passer à l'acte. Accueilli par Alain Le Vern, président du conseil régional, François Loncle, député, Jean-Louis Destans, président du conseil général et Marc Antoine Jamet, maire de Val-de-Reuil, M. Pépy a tout d'abord jeté un œil sur la gare elle-même prenant ainsi toute la mesure des besoins et de l'urgence des travaux à effectuer. Il n'a pas omis de saluer le personnel employé aux guichets, lui qui venait d'arriver en gare à bord d'un train d'un autre âge.
Quelques minutes après la signature d'une « convention » de principe liant les différents partenaires (1) Guillaume Pépy, au cours d'une conversation avec François Loncle, à laquelle je participais, a reconnu que les lignes TGV n'avaient pas besoin d'être soutenues : « elles ont le soutien de tous les Français. La politique qu'on m'a assignée, c'est d'être aux bons soins d'une ligne comme celle qui relie Paris au Havre et qui besoin d'un énorme effort de modernisation et d'entretien. Des lignes comme celles-là ont besoin de mon soutien. »
Après sa rencontre avec les élus, un communiqué a été distribué insistant sur les manques criants de la gare de Val-de-Reuil et des remèdes à apporter : « La modernisation de la gare rolivaloise s'inscrit dans le prolongement des évolutions démographiques et économiques de Val-de-Reuil et du territoire de Seine-Eure comme celui de Seine-Bord, du développement des transports publics…
…Ce programme a pour but de rendre la gare plus sûre, plus moderne et plus fonctionnelle. Trois actions seront mises en œuvre (note du blogger : mais quand ?)
— Améliorer les conditions de transport des voyageurs par la remise à niveau des installations existantes, la réhabilitation du parking, voire son extension car il est aujourd'hui saturé, la réalisation d'une plate-forme permettant la création d'une aire de dépose-minute, le remodelage de la station d'arrêt des bus ainsi que de la piste réservée aux taxis, l'association des modes de déplacement doux.
— Favoriser l'accès de tous les usagers à la gare et par là-même, l'accessibilité des personnes à mobilité réduite afin que chacun bénéficie, de manière optimaler, des services publics de transport.
— moderniser le bâtiment voyageurs pour accroître le confort et la qualité de l'accueil des clients et développer un nouvel espace de vente. »
Les différents partenaires ont signé une convention de pré-études visant à préciser les travaux à engager, leur coût et leur mode de financement. Mais une phrase nous inquiète. On peut lire : « le budget nécessaire à l'établissement de ce document sera réparti entre les différents partenaires et les collectivités locales intéressées à la rénovation de la gare et qui en seront volontaires. Une précision : la réalisation des travaux est envisagée entre 2010 et 2011. » Ce qui fait encore quelques marches à monter.
(1) Les partenaires : le conseil régional, le conseil général de l'Eure, La CASE, la commune de Val-de-Reuil, Réseau Ferré de France et la SNCF.
Quelques minutes après la signature d'une « convention » de principe liant les différents partenaires (1) Guillaume Pépy, au cours d'une conversation avec François Loncle, à laquelle je participais, a reconnu que les lignes TGV n'avaient pas besoin d'être soutenues : « elles ont le soutien de tous les Français. La politique qu'on m'a assignée, c'est d'être aux bons soins d'une ligne comme celle qui relie Paris au Havre et qui besoin d'un énorme effort de modernisation et d'entretien. Des lignes comme celles-là ont besoin de mon soutien. »
Après sa rencontre avec les élus, un communiqué a été distribué insistant sur les manques criants de la gare de Val-de-Reuil et des remèdes à apporter : « La modernisation de la gare rolivaloise s'inscrit dans le prolongement des évolutions démographiques et économiques de Val-de-Reuil et du territoire de Seine-Eure comme celui de Seine-Bord, du développement des transports publics…
…Ce programme a pour but de rendre la gare plus sûre, plus moderne et plus fonctionnelle. Trois actions seront mises en œuvre (note du blogger : mais quand ?)
— Améliorer les conditions de transport des voyageurs par la remise à niveau des installations existantes, la réhabilitation du parking, voire son extension car il est aujourd'hui saturé, la réalisation d'une plate-forme permettant la création d'une aire de dépose-minute, le remodelage de la station d'arrêt des bus ainsi que de la piste réservée aux taxis, l'association des modes de déplacement doux.
— Favoriser l'accès de tous les usagers à la gare et par là-même, l'accessibilité des personnes à mobilité réduite afin que chacun bénéficie, de manière optimaler, des services publics de transport.
— moderniser le bâtiment voyageurs pour accroître le confort et la qualité de l'accueil des clients et développer un nouvel espace de vente. »
Les différents partenaires ont signé une convention de pré-études visant à préciser les travaux à engager, leur coût et leur mode de financement. Mais une phrase nous inquiète. On peut lire : « le budget nécessaire à l'établissement de ce document sera réparti entre les différents partenaires et les collectivités locales intéressées à la rénovation de la gare et qui en seront volontaires. Une précision : la réalisation des travaux est envisagée entre 2010 et 2011. » Ce qui fait encore quelques marches à monter.
(1) Les partenaires : le conseil régional, le conseil général de l'Eure, La CASE, la commune de Val-de-Reuil, Réseau Ferré de France et la SNCF.
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