Philippe Brun avec Nolwenn Léostic (à droite), membre de EELV. |
Lors d’un premier mandat, ce qui est le cas de celui qui sauva l’honneur du suffrage en battant une candidate du Rassemblement national, le nouvel élu doit labourer le terrain, connaître à fond sa circonscription et agir au plus près des préoccupations de ses mandants. Les faits prouvent qu’on peut faire confiance à Philippe Brun (PS-NUPES). N’a-t-il pas fait approuver 36 amendements lors de l’examen des différents textes proposés au vote par le gouvernement depuis le second tour des législatives ? N’a-t-il pas programmé des rencontres dans divers villages de la circonscription où il a répondu à toutes les questions des habitants ? Des esprits chagrins ou revanchards (il y en a toujours) ne manqueront pas de jalonner son chemin de chausse-trapes ou de pièges divers. Nul ne fait l’unanimité et le combat électoral est tel que jalousies et perfidies ne doivent pas détourner un élu conséquent de ses objectifs : servir la population dans toute sa diversité. On peut en être certain : Philippe Brun tiendra sa feuille de route.
Mais, comme je l’écrivais plus
haut, un député n’est pas un homme seul. Philippe Brun sait donc pouvoir
compter sur Smaïl Chibane, un homme d’expérience (un ancien collaborateur de
François Loncle) et Lisa Moreau, sa suppléante, très au fait des besoins des
populations défavorisées. En accueillant ses invités, ce jeudi, Philippe Brun
n’a pas manqué de remarquer qu’ils étaient issus des cinq cantons de la
circonscription, un témoignage concret de sa volonté de n’oublier
personne.
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