27 juillet 2011

Le Canard… et l’Écrêté…

Encore des histoires de basse-cour me direz-vous… Entre le Canard… enchaîné et le Coq… décomplexé…, il n’y en a donc que pour la volaille ! Notre écrêté lovérien n’en finit pas de faire les bonnes feuilles de la presse nationale. Après Le Figaro et un grand hebdomadaire d’information, le voici cette semaine en bonne place dans le Canard enchaîné. Toujours pour la même raison, et toujours en compagnie des mêmes, dont il est devenu inséparable. J’ai nommé : Patrick et Isabelle Balkany, les Ceausescu du 92 ainsi que les ont surnommés Marianne, d’une part, et, Franck Martin et Ghislaine Baudet, les Thénardier du 27©, d’autre part.


Même appétit du pouvoir et de ses prébendes, même volonté de cumuler coûte que coûte les mandats et les indemnités qui vont avec. Même appât du gain qui les pousse à user de tous les stratagèmes pour ratisser tout ce qui peut l’être. Même absence de scrupules qui les conduit à justifier l’injustifiable et à détourner l’esprit de la loi à leur unique avantage. Mêmes manières enfin de se fabriquer des obligés en distribuant ici et là délégations et indemnités qu’on peut retirer du jour au lendemain à ceux qui manifesteraient la moindre velléité d’indépendance d’esprit. 

Les entendre déclarer qu’ils sont avec la politique, dans la plus extrême précarité, voilà ce que vont tout de suite comprendre les caissières de Carrefourmarket au point qu’elles manifesteront – n’en doutons pas – leur solidarité envers ce malheureux couple vivant dans l’angoisse du lendemain. Tenter de nous apitoyer sur leur sort – elle, devant survivre avec une si maigre retraite de 800 euros –, voilà de quoi les rapprocher de la foule immense des petits retraités. Nous sommes dans l’indécence la plus totale.

Il n’est que temps que les citoyennes et les citoyens de ce pays en général et de louviers en particulier, se réapproprient la politique et reprennent leurs affaires en main.
Reynald Harlaut
© François Loncle, 2010

Aucun commentaire: