5 décembre 2009

Le débat sur l'eau gagne les marchés

Pour rendre populaire la rencontre avec Jean-Luc Touly, mercredi soir à 20 heures, à l'ancien collège Alphonse Allais de Val-de-Reuil, l'Association pour l'amélioration de l'environnement et du cadre de vie a tiré un tract d'information actuellement distribué sur les marchés. Vendredi, nous avons occupé le marché de Val-de-Reuil,; samedi, celui de Louviers et demain dimanche, nous serons sur le marché de Pont-de-l'Arche.
Ce débat sur l'eau monte en puissance.

Il n'est que lire les réactions du président de la CASE, un mélange de bile et de haine, très éloigné du nécessaire sang-froid dont doit faire preuve un dirigeant digne de ce nom. Ainsi, l'eau, l'assainissement, les ordures ménagères, les transports, le chauffage, la culture, la sécurité…tous éléments délégués par la CASE ou la ville de Louviers (à Véolia, à la Scène nationale, aux caméras de vidéo-surveillance) vont devenir des sujets de débat collectif.

Par la volonté d'une association qui n'occupe que le ministère de la parole et rassemble 38 membres à jour de leur cotisation (2 euros), un contre-pouvoir indispensable se met en place lentement, patiemment, qui sème les graines d'une future récolte à haut rendement. Et je ne parle pas de sièges, de fauteuils ou de fromages, je parle de rendement politique au sens où les citoyens doivent posséder toutes les clés susceptibles de les aider à forger leur jugement. C'est notre ambition. Personne ne doute qu'elle sera conduite à son terme.
Légende photo : Christian Renoncourt, Sophie Ozanne et Claudine Duteuil, conseillers municipaux, distribuent sur le marché de Louviers.

4 décembre 2009

Le débat sur l'identité nationale : l'effet boomerang

C'était prévisible. Le débat sur l'identité nationale initié par le président de la République et son obligé, Éric Besson, dérape et le boomerang leur revient au visage. A force de mêler identité nationale et immigration, les xénophobes et les racistes s'en donnent à cœur joie sur le site du ministre, au point qu'une censure multiple doit empêcher de nombreux messages d'être publiés.

Quand on manie les explosifs sans en maîtriser l'usage, ils finissent par péter à la g…de ceux qui ont pris les risques de les allumer à quelques semaines du lancement d'une campagne électorale des régionales fort dangereuse pour l'UMP, le Nouveau Centre et les gouvernants.

Martine Aubry a flairé le bon coup. Dans son tour de France des régions, elle vante la France unie de célèbre mémoire : « Pour Nicolas Sarkozy, la France tu l'aimes ou tu la quittes. Je dis la France qu'on aime, construisons la ensemble. » Il s'agit d'une tout autre démarche, d'un tout autre objectif. C'est aussi pour cela qu'elle n'hésite pas à souhaiter que les travailleurs sans papiers (ceux qui paient impôts et cotisations sociales) puissent obtenir des titres de séjour.

Le principal effet de la campagne Sarkozy-Besson, c'est le renforcement des sales idées du Front national. Marine Le Pen exulte : « Depuis que je le demandais ce débat sur l'identité nationale…» Il se pourrait que ce parti dépasse les 10 % des suffrages exprimés dans maintes régions et obtienne ainsi le moyen de se maintenir au second tour. Ce serait l'échec de Nicolas Sarkozy et de ses conseillers.

D'ailleurs, les Raffarin, Juppé, Villepin, Copé, ont senti le danger. Chaque jour qui passe permet à ces messieurs de prendre leurs distances avec ce débat sur l'identité nationale. Il n'y a guère plus que M. Guaino, l'homme aux 300 000 euros annuels (vous avez dit presse totalitaire !) pour justifier ce débat insensé. Il s'est même trouvé des radicaux de Gauche pour justifier l'injustifiable. Et ceci n'est pas une autre histoire.

N'oubliez pas : le 9 décembre à Val-de-Reuil

L’eau n’est pas une marchandise ordinaire. Si, jusqu’à présent, notre pays ne souffre pas de problèmes d’approvisionnement, il en va tout autrement dans la plupart des pays du Sud ou l’eau est un enjeu vital. En France, avec la paupérisation d’une part croissante de la population, en raison notamment de la crise économique, se pose déjà pour certains le problème de l’accès à l’eau comme à l’électricité. Comment vivre en France au XXIe siècle sans eau courante et sans électricité quand on n’a plus les moyens de les payer ? N’est-ce pas là un facteur d’exclusion insupportable ?

Dans toutes les communes faisant partie de la Communauté d’agglomération Seine-Eure (CASE), à deux exceptions près, les habitants sont confrontés à l’augmentation régulière du prix de l’eau. Le choix qu’ont fait il y a déjà un certain nombre d’années les élus des communes de Louviers et de Val-de-reuil, confirmé par la CASE en 1995, de déléguer le service de l’eau à VÉOLIA (ex CGE) a un coût. Ce coût est-il justifié par le service rendu ?

Franck Martin, président de la CASE affirme qu’il n’existe pas de meilleure solution technique, économique et humaine, que de déléguer ce service au privé.

L’Association pour le Cadre de vie et l’Environnement, qui vient de reprendre du service, prétend le contraire et souhaiterait le retour du service de l’eau en régie publique. Cette association regroupe des citoyens d’horizons et de courants de pensée divers. Ce n’est donc pas là qu’une posture idéologique ou qu’une manœuvre politicienne d’opposition au président de la CASE comme certains commentaires caricaturaux voudraient le faire croire.
Si vous souhaitez disposer de toutes les informations utiles sur cette question, nous vous invitons à participer à la réunion d’information qui se tiendra le mercredi 9 décembre à 20H00 à Val-de-Reuil, à l’auditorium de l’École de musique (ancien collège Alphonse Allais), voie de la Palestre. Nous réservons au président de la CASE quelques surprises juridiques et financières.

Jean-Luc Touly, un des meilleurs spécialistes français de l’eau, sera présent pour vous faire partager ses connaissances et répondre à vos questions. De la lecture de votre facture d’eau (nous vous conseillons de vous en munir) à la formation du prix de l’eau, de la comparaison entre les différents systèmes de distribution existants en France et de la concurrence entre eux, il saura vous dire tout ce qu’il est important de savoir pour être des citoyens actifs et responsables. Ainsi éclairés, vous pourrez ensuite former votre jugement en toute connaissance.
(photo de Jean-Luc Touly)

3 décembre 2009

Nous ne sommes pas les seuls !

Des élus d'opposition du Syndicat des eaux d'Ile-de-France (Sedif) vont écrire au président de l'Autorité de la concurrence pour qu'il se saisisse du dossier du renouvellement du contrat de distribution d'eau potable à 144 communes de la région, a annoncé mercredi l'un d'entre eux.

"Quatre ou cinq élus du Sedif vont écrire d'ici la fin de la semaine au président de la Haute autorité de la concurrence pour qu'il se saisisse du dossier", a déclaré Christian Métairie, premier adjoint (DVG) au maire d'Arcueil, membre du comité du Sedif, et qui sera l'un des signataires de la lettre.

Selon M. Métairie, membre d'un collectif d'élus signataires d'un "appel pour une gestion publique de l'eau en Ile-de-France", il serait "incompréhensible" que l'Autorité de la concurrence ne se saisisse pas d'un dossier concernant l'une des plus importantes délégations de service public en Europe.

"Nous avons quelques doutes sur la procédure, et notamment sur la question de l'allotissement" (division du contrat en plusieurs lots), a expliqué M. Métairie. Les élus du Sedif avaient refusé en avril de découper le marché de l'eau francilienne.

Le Sedif fournit en eau potable quatre millions d'habitants répartis sur 144 communes et sept départements. Le groupe Veolia gère ce service depuis la création du syndicat en 1923, sous la forme d'une délégation de service public. D'un montant de 371 millions d'euros par an, le dernier contrat, attribué dans sa forme actuelle à Veolia depuis 1962, arrive à échéance fin 2010.

L'appel d'offres, pour lequel Veolia, Suez Environnement, la Saur et le groupe Derichebourg associé à l'allemand Remondis ont été retenus, sera clos vendredi.

Des associations de consommateurs, comme l'UFC Que Choisir, dénoncent régulièrement le prix trop élevé, selon eux, de l'eau francilienne. L'UFC Que Choisir avait évalué la surfacturation du service à 90 millions d'euros par an, soit environ 50 euros par habitant. Des élus de gauche réclament en outre régulièrement un retour du service en régie publique.
(AFP)

2 décembre 2009

L'union d'un PRG avec une autre PRG…

Mon cher José (1), je t'ai connu meilleur quand tu exerçais tes talents à France3 Région. Non, n'aies pas peur, il s'agit simplement d'une boutade. Mais tout de même. En allant sur ton blog, je découvre avec amusement (et effarement) que la liste de Franck Martin aux dernières municipales était une liste d'« union de la gauche » ! Alors là, franchement, tu m'en bouches un coin.

Je pensais naïvement que l'union de la gauche, c'était l'union de membres des partis de gauche et reconnus comme tels. A l'époque la seule union dont j'ai entendu parler (côté majorité municipale) c'est d'une union de personnalités aux origines politiques diverses telles que celles de Mme Gateau ou de M. Bidault et d'autres encore pas vraiment connus pour leur engagement à Gauche. Alors c'est vrai, Mme Jullien était encore Verte. Aujourd'hui elle a adhéré au PRG si bien qu'il ne reste plus de Verts encartés dans cette majorité (2). L'union d'aujourd'hui se résume à l'addition d'un PRG avec une autre PRG ce qui donne une union PRG.

Notre liste municipale comprenait des membres du PS, du PCF (secteur Pont-de-l'Arche-Val-de-Reuil-Louviers) pas des fractionnistes du genre de M. Canivet ou de Mme Laquerrière que nous ne voyons jamais distribuer les tracts et les journaux du PCF sur les marchés ou aux portes des usines et encore moins les appels communs des différents partis de Gauche, des syndicats et mouvements.

Le PS est aujourd'hui allié — pour certaines actions — au PCF (canal historique) au Parti de Gauche, et au NPA (Nouveau parti anticapitaliste). Les amours illégitimes dont parle le maire se pratiquent habituellement dans le secret des alcôves. La section PS de Louviers, elle, agit au grand jour. Et elle n'a aucune honte de ses unions.

(1) Je m'adresse à José Alcala.
(2) Sous réserve d'un démenti de M. Labbé.

1 décembre 2009

Le plan banlieue n'est pas à l'avantage de Fadela Amara

Le président de la République préfère évoquer l'installation de la vidéosurveillance dans les quartiers (comme de trop nombreux maires de droite et de gauche) plutôt que de tirer les conclusions d'un rapport récent démontrant que le plan banlieue défendu par Fadela Amara se soldait par un échec. Le chômage y demeure permanent, l'échec scolaire aussi tout comme la pauvreté. La politique de la ville vue par le gouvernement Fillon est étroite, dépourvue de moyens conséquents, elle se réduit aux effets d'annonce.

J'entendais Fadela Amara ce matin sur les ondes de France Info. Elle déplorait le peu de soutien de Christine Boutin, son ancien ministre de tutelle, qui finalement tirait dans une autre direction. Elle se lamentait du peu d'empressement des cabinets des ministres concernés à financer ce qui devait l'être. Est-ce si étonnant ?

Ce qui est grave c'est que les conditions d'un nouvel embrasement des quartiers sensibles sont, de manière permanente, réunies. Les opérations de renouvellement urbain tardent à être réalisées. L'Observatoire national des ZUS (zones urbaines sensibles) n'est pas tendre avec avec la politique gouvernementale. Il pointe tous les défauts récurrents de son action et fait passer Fadela Amara pour un ministre alibi sous le signe de la diversité et de l'ouverture.
Le plus étonnant c'est que l'ancienne président de « Ni putes, ni soumises » forcément lucide sur les carences de son action n'ait pas encore démissionné de ses fonctions.

30 novembre 2009

Le Président nationalise la campagne des régionales

En décidant de « nationaliser » la prochaine campagne électorale pour les élections régionales, Nicolas Sarkozy court un risque énorme. François Hollande a eu raison d'insister sur ce risque : « Si les Français, a-t-il déclaré, reconduisent les majorités de gauche, cela voudra donc dire qu'ils disent non à la politique suivie par le président de la République. »

Le Président de la République, chef de l'UMP, a placé ces élections sous les signes de « l'insécurité, de l'identité nationale, et de l'immigration » tous sujets qui n'ont pas grand'chose à voir avec la réforme territoriale et encore moins avec les bilans et projets des exécutifs régionaux. C'est si vrai que 72 % d'entre eux déclarent considérer comme une manœuvre électoraliste le débat sur l'identité nationale lancé par Eric Besson même s'ils sont 57 % à juger que ce débat est utile.

Utile à quoi ? L'identité nationale c'est « liberté, égalité, fraternité » et la volonté de vivre ensemble quelles que soient les origines, les religions, les couleurs de peau. Toute personne vivant sur le sol français a vocation à devenir citoyen si tel est son bon plaisir.

Les sans papiers actuellement en grève sont un bon exemple de la conduite erratique du gouvernement. Ces ouvriers travaillent en France, paient des impôts et des cotisations sociales. Ils ne demandent pas à devenir Français, ils souhaitent seulement pouvoir marcher la tête haute sans craindre la foudre des contrôles policiers inopinés et les reconduites intempestives à la frontière. Un gouvernement responsable agirait à leur égard avec humanité. Martine Aubry a donc raison quand elle évoque une régularisation large et non massive et à certaines conditions.

En Haute-Normandie, pas un commentateur ne croit un instant aux chances de la Droite de gagner les régionales. Si le suffrage universel est parfois imprévisible, il n'en demeure pas moins que le corps électoral doit s'appuyer sur un bilan, une action, une politique crédible. Le seul problème de la Gauche, ce sera sa division au premier tour. Les Verts et les communistes veulent se compter ? Qu'ils se comptent. Ce qu'il faut c'est qu'Alain Le Vern se montre plus intelligent que le maire de Louviers qui avait jeté l'anathème sur la liste municipale PS-PC-société civile en refusant (avant le premier tour) tout accord de second tour. Ce qu'il souhaitait ? Un retrait humiliant d'une liste qui a tout de même enregistré près de 20 % des suffrages au premier et second tours. Ce n'est pas rien.

Le président sortant est un politique expérimenté. D'ici le 14 février, date de dépôt des listes, il peut encore se passer bien des événements. Et en route vers de nouvelles aventures !

29 novembre 2009

La complexité, un obstacle à la démocratie !

J'ai assisté pendant une heure trente (sur les trois heures prévues) à la réunion d'information organisée par l'Association normande des communautés de France au cinéma Grand Forum sur la réforme des collectivités territoriales. Les organisateurs avaient vu grand, trop grand sans doute, dans la mesure où les seuls présents étaient des élus de la CASE ou d'autres communautés de communes plus lointaines. Les citoyens n'avaient certainement pas compris l'intérêt d'une rencontre consacrée aux projets de réformes du gouvernement concernant l'organisation territoriale et la taxe professionnelle. Dommage car l'avenir institutionnel des outils de proximité est en jeu.

Heureusement, Michel Champredon, président de l'agglomération d'Evreux, était présent pour exposer les dangers que recèlent ces projets de réformes (1). Il y voit la revanche de la haute fonction publique sur les élus dotés de pouvoirs importants depuis l'adoption des lois de décentralisation. Il y devine aussi la volonté du pouvoir central… de recentraliser des décisions qui, aujourd'hui, lui échappent. En fait, le gouvernement veut porter atteinte aux contre-pouvoirs que sont les régions et les départements majoritairement administrés par la Gauche. Cet état de fait est insupportable à Nicolas Sarkozy qui tient à renforcer les pouvoirs des préfets et à limiter celui des élus locaux.

Sous prétexte de simplification et de clarification, on voit bien que la nouvelle organisation ne simplifie rien et ne clarifie rien car la complexité règne. Cette complexité n'inquiète pas le président de la CASE (2). Il considère même qu'elle est nécessaire et qu'il appartient aux élus de la maîtriser, pas aux citoyens qui ne doivent être informés que des grandes lignes des modes de gestion. Sur d'autres points, il est hostile aux propositions du gouvernement mais ne dit pas ce qu'il ferait sur les textes en l'état.

La CASE, assure-t-il, fonctionne sur le consensus, la recherche de compromis, elle doit, selon lui, éviter la politisation et donc la création d'une majorité et d'une opposition. C'est ainsi que la CASE se retrouve avec une vingtaine de vice-présidents avec délégations et indemnités (3). En favorisant « le flêchage » (4) — comme le prévoit le projet de loi — des représentants des communes au sein des agglomérations, les élus seront élus au suffrage universel. Franck Martin préfère la seule élection du président (ou de la présidente) au suffrage universel direct. Cette solution aurait l'inconvénient de permettre que la majorité des délégués des communes soit opposée à un président élu pour son charisme ou son savoir-faire. Selon moi, le président (la présidente) doit donc demeurer une personnalité élue au sein de l'assemblée désignée par le suffrage universel direct.

Revenons à la complexité. Les réunions des délégués de la CASE avec des ordres du jour surchargés, des questions techniques fastidieuses, se tiennent en l'absence des citoyens (excepté quelques militants ou élus d'opposition). Les citoyens sont très mal informés des politiques conduites par la CASE et de leurs applications concrètes. Comment voudrait-on associer les citoyens alors qu'ils ne possèdent ni les clés ni les argumentaires ? Lors des réunions de quartiers à Louviers, les problèmes soulevés sont toujours des préoccupations individuelles, jamais générales. Ce n'est pas un hasard. La complexité est un obstacle majeur à la participation éclairée des citoyens. La victoire du Non eu projet de traité constitutionnel européen a, par exemple, été un refus de cautionner un texte long, confus, souvent incompréhensible.

Michel Champredon, relayant une demande du PS, souhaite que ces projets de réformes soient soumis à un référendum. Je n'aime pas le référendum. Je n'aime pas tout ce qui ressemble à une volonté d'éliminer les corps intermédiaires, les médiateurs, voire les élus. Comme le dit bien Alain Le Vern quand il évoque le référendum sur l'éventuelle réunification des Normandies « il ne s'agit pas seulement de demander aux Normands s'ils sont pour ou contre la réunification, il faut aussi leur expliquer les enjeux : historique, économique, politique, administratif. Ensuite, quand ils seront éclairés, on pourra voter. »

Ces projets de réformes même s'ils sont adoptés par le Parlement, seront soumis à l'éventuelle censure du conseil constitutionnel et surtout, seront conditionnés aux résultats des élections présidentielle et législative de 2012. La Gauche a annoncé très clairement qu'elle ferait abroger ces lois si elle devenait majoritaire en France. On ferait bien de l'encourager lors des élections régionales.

(1) Jean Louis Destans, président de la communauté de Pont-Audemer était annoncé mais son retour de Copenhague a été, semble-t-il chaotique.
(2) Maîtriser la complexité c'est posséder le pouvoir et ne pas le partager.
(3) A La CASE, Marc Antoine Jamet, maire de Val-de-Reuil, est vice-président sans délégation et sans indemnité.
(4) Dans le projet gouvernemental, les élus des intercommunalités seraient désignés nommément sur les listes municipales (avec la parité donc) dans les communes de plus de 500 habitants.